Je N’Aurais Pas Du…(3)

Je n’aurais pas du…(3)

Plus tard dans la journée, il m’appela de nouveau. J’entrais dans son bureau et fermais la porte comme convenu. J’attendais ses ordres.
« Déshabille-toi et viens sous mon bureau. » Je m’exécutais et m’approchais de lui, nue avec simplement mes bas et mes chaussures. J’avais les seins qui bougeaient en marchant et il ne me lâchait pas du regard. Je me mis à quatre pattes sous le bureau, il avait ouvert son pantalon et son sexe était tendu. C’est vrai que lors de la séance de sodomie de ce matin, il n’était pas venu.
« Suce ! » Je commençais par lécher ses bourses et remontais vers sa verge pour humidifier. Je redescendais vers ses bourses et les pris dans ma bouche pour les faire rouler avec ma langue. Je les tirais un peu l’une après l’autre puis remontais de nouveau vers sa verge. Je léchais son gland lentement comme pour m’en délecter et finis par le prendre dans ma bouche. Il était déjà bien dur et lisse. Je fis quelques allers retours et jouait avec ma langue sur son frein.
Il me caressait les cheveux et pour le moment me laissait faire comme je voulais. Je redescendais de temps en temps vers ses bourses pour les lécher et léchais parfois son périnée juste sous les bourses. Je revins vers son sexe et le pris dans ma bouche de nouveau, il avait encore pris du volume, preuve que mes petites caresses lui faisaient de l’effet.
J’accentuais la caresse et tout en jouant de ma langue sur son gland je commençais à faire des allers retours de plus en plus rapides. Il pris alors ma tête avec ses deux mains et commença à pousser de plus en plus son sexe dans ma bouche.
Je le sentais haleter au dessus de moi et je perdais complètement le contrôle, c’est lui qui baisait ma bouche et non moi qui dirigeais maintenant. Il allait de plus en plus vite mais surtout de plus en plus profond. J’étais à quatre pattes sous son bureau et mes seins dénudés ballottaient à chaque poussée vers ma bouche.

Il poussa un peu plus fort une fois et gicla au fond de ma gorge. Il resta un instant pour que j’avale sa semence. Je sentais les tressautements de son sexe dans ma bouche.
Enfin, il me libéra.
« Retournez travailler. »
Je me rhabillais et sortis du bureau. Il ne me rappela pas de la journée et je partis très vite chez moi ce soir là.

Le lendemain, j’avais respecté la consigne. J’étais en jupe, pas de sous vêtements et j’avais mis des bas. J’attendais l’ascenseur avec tous mes collègues, quand il arriva. Il ne dit rien et nous nous installions dans l’ascenseur. J’étais au fond, nous étions serrés et il avait fait en sorte de se positionner derrière moi. Il était collé à moi.
Je ne bougeais pas mais sentais nettement son sexe coller à mes fesses. D’un coup je sentis sa main venir caresser mes fesse et glisser sous ma jupe. Je n’osais pas bouger et je regardais autour de moi priant pour que personne ne remarque rien. Il passa sa main sous ma jupe par devant et vint caresser directement mon minou tout lisse. Je le laissais faire mais ne bougeais pas les jambes. D’un coup de genoux il me fit comprendre que je devais écarter un peu mes cuisses. Ce que je fis en me repositionnant doucement.
Il effleura mon clitoris, et d’un seul mouvement il entra son doigt en moi. Je sursautais tellement je ne m’y attendais pas. Puis je ne bougeais plus pour ne pas attirer l’attention sur nous. Il ressortis son doigt et me laissa juste à temps car nous arrivions à destination.
Ce petit manège était pour me faire comprendre que je lui appartenais partout et en toutes circonstances. J’allais à mon bureau, j’étais mortifiée. Mais son petit jeu en public m’avait excitée et je sentais que je mouillais déjà.

Il ne m’appela que tard dans la journée. Tous mes collègues s’apprêtaient à partir. Je me dirigeais vers son bureau et entrais. J’allais fermer la porte comme il voulait que je fasse, quand je vis une autre personne avec lui dans le bureau.

D’un coup d’œil il me fit signe de fermer la porte. La personne se retourna, il s’agissait d’une femme. Je commençais à avoir un peu peur.
Je m’avançais néanmoins et ne bougeais plus. « Mme G, je vous présente ma secrétaire. Elle m’est très dévouée. » Elle me fit un signe de tête auquel je répondis.
Il s’adressa à moi. « Déshabille-toi. » Je ne savais pas quoi faire. J’étais pétrifiée. Je ne pouvais pas faire ça devant cette femme. Il répéta sa demande en me menaçant du regard et je me déshabillais, rouge de honte.
Je me retrouvais nue devant mon patron et devant cette femme qui me regardais avec insistance sous toutes les coutures. Elle s’attardait sur ma poitrine et descendait son regard vers mon minou. Je restais immobile les jambes serrées.
Mon patron s’approcha et demanda à la femme si elle voulait en voir plus.
« Tu vois, me dit-il, Mme G n’a jamais eu d’expérience avec une autre femme et elle rêve de se faire lécher le minou par une femme. J’ai tout naturellement pensé à toi. Mais avant ça, je pense qu’elle aimerait te voir un peu. »
Sur ces paroles, il s’approcha de moi et me fit avancer jusqu’au siège de Mme G. J’étais tout près d’elle, il écarta mes jambes dévoilant mon sexe à cette femme. Elle parue intéressée et approcha même une main vers mon minou pour le toucher. Elle commença par me caresser doucement sur le dessus avec sa main. « Humm c’est très doux… c’est la première fois que je touche un sexe de femme… ça ne vous dérange pas ? » Je regardais mon patron et balbutiais un petit non et la laissais faire.
Elle caressa un peu avec la main puis écarta les lèvres et observa. J’avais l’impression d’être auscultée c’était un peu étrange. Elle avança son autre main et passa son doigt sur mes petites lèvres. C’était très agréable, je commençais à mouiller sous la caresse. Elle s’en rendit compte et humidifia son doigt sur mon excitation avant de mettre à sa bouche. Elle voulait me goûter me dit-elle. Puis elle revint et commença à me caresser le clitoris.

Elle commença par tourner autour lentement, puis elle appliqua son doigt directement dessus et fit aller et venir de bas en haut lentement. C’était délicieux, elle savait exactement comment faire et où caresser. J’appréciais la caresse et la laissait faire. C’était vraiment étonnant de se laisser caresser par une femme. C’était bien la première fois.
Ses caresses sur mon clitoris se firent de plus en plus précises. Mon patron ne ratait pas une miette du spectacle. Il finit par se mettre derrière moi et me faire poser les mains sur le bureau et écarter les jambes. Elle était placée à coté de moi sur son siège et me caressais le clitoris.
Je sentis le sexe de mon patron se placer derrière moi. « Tu vas voir, lui dit-il, elle adore se faire prendre par derrière ». Je n’en croyais pas mes oreilles, il allait m’enculer devant cette femme. J’allais bouger, mais il le sentis et me mis une belle fessées bien claquante. « Ah oui, et elle adore quand je la corrige. »
L’humiliation était à son comble, je ne regardais personne et ne bougeais plus. Je les laissais m’utiliser. Je devais offrir un tableau magnifique ! Moi debout, les jambes écartées appuyée au bureau, une femme que je ne connaissais pas (très belle par ailleurs) qui me caressait le sexe assise sur un fauteuil et mon patron qui me pénétrait (encore) par derrière.
J’avais du mal à faire la part des choses, cette femme s’y prenait très bien et le sexe de mon patron dans mon cul faisait ressortir encore plus mon clitoris. Je haletais, j’avais du mal à garder mon sang froid. Mon patron parlait de moi à cette femme comme si je n’étais pas là. Il lui racontait comment j’en était arrivé là. J’étais morte de honte. Mais leur petit traitement m’empêchait de raisonner normalement.
Quand mon patron me demandait si j’aimais ce qu’ils me faisaient, je répondais oui. La femme allait de plus en plus vite, mon clitoris était sorti au maximum, il était ultra sensible. Mon patron faisait des allers retours amples de plus en plus forts dans mon fondement, ses bourses claquaient sur mon sexe à chaque entrée.
Je criais sans plus aucune retenue, je savais que j’allais venir et je ne voulais surtout pas que ça s’arrête.
Mon patron finit par jouir au fond de moi dans un râle puissant. Je jouis presque en même temps que lui dans un « Oh oui ! » retentissant.
Mon patron se retira lentement, sa semence coulait un peu, mais pas complètement, il avait du venir vraiment profondément. Mme G s’était reculée et nous regardait.
Mon patron finit par me dire. « Je vois que tu as apprécié notre petit traitement ? Mais tu sais Mme G n’a pas eu son compte, il ne faut pas la laisser comme ça. C’est toi qui va t’occuper d’elle. Mets toi à genoux devant elle et retire lui sa culotte. »
C’était un ordre, je ne bougeais pas, j’étais intimidée, je ne savais pas trop comment m’y prendre. Ca n’a pas raté ! mon hésitation me valut une belle fessée.
Je m’empressais de me mettre devant la femme, je levais sa jupe. Elle se laissait faire, avec un regard moqueur. Je descendais sa culotte lentement, en tirant sur le cotés, elle me facilita la tâche en se soulevant un peu. Je dévoilais son sexe petit à petit. Je ne le quittais pas des yeux, j’avais du mal à détourner les yeux. Il était un peu plus gonflé que le mien, complètement rasé comme le mien. Elle avait entre les lèvres un peu d’humidité qui perçait. Visiblement elle avait été très excité tout à l’heure. Je mettais son slip par terre et n’osais plus rien faire.
« Bien, maintenant elle va se lever et se mettre dans la même position que toi tout à l’heure. Mets tes mains là ma belle, ne t’en fais pas, je m’occupe de toi. Tu vas aimer. » Et là il me dit : « Bon, tu te mets accroupie derrière elle et tu commences par la caresser avec tes mains comme tu le ferais pour toi. Voilà, écarte bien les jambes, je veux te voir. »
Je me mettais accroupie, les jambes écartées, Cette position me mettais mal à l’aise, je sentais le sperme de mon patron couler entre mes fesses, c’était extrêmement gênant. Cela fit sourire mon patron qui se pencha pour me caresser les seins, et, pour bien me montrer qu’il voyait tout, il passa un doigt entre la raie de mes fesses et récolta un peu de semence. Il continuait à me caresser les seins d’une main et passa son doigt près de ma bouche. Il voulait que je suce son doigt qu’il venait de passer sur la raie de mes fesses. Son doigt sentait le sperme, j’entrouvris les lèvres et le laissait faire. Ca avait l’air de lui plaire, il m’embrassa ensuite et commença à me dicter ce qu’il voulait que je fasse à son amie.
J’avais déjà commencé à la caresser comme elle me l’avait fait. Je passais une main sur son sexe, il était ouvert et offert car elle avait les jambes écartées. C’était très doux, c’était très agréable de la toucher. Je n’avais jamais touché de femme comme ça. Je commençais à préciser ma caresse avec mon doigt. Je caressais ses petites lèvres complètement mouillées en faisant des allers retours. Puis, j’approchais mon doigt de son clitoris, je tournais autour lentement prolongeant la caresse sans vraiment le toucher directement. Je sentais qu’elle attendais que je le fasse, elle cambrais encore plus le bassin.
« Tu te mets à genoux, tu continues ta caresse avec ta main et je veux que tu lèches son petit trou. Je veux voir ta langue entrer à l’intérieur et glisser sur son sillon. » Je n’avais jamais fait un truc pareil même pas à un homme. Je ne voulais pas le faire. Je ne bougeais pas. Il m’attrapa alors par les cheveux et me força à me mettre à genoux. Son amie se cambra encore plus et écarta bien les jambes pour rendre disponible son petit trou. Puis, toujours en me tenant par les cheveux, il avança ma tête vers son anus et me dit « lèches ».
Je sortais la langue timidement et commençais à lécher le sillon entre ses fesses. Je faisais un premier aller retour, j’étais guidée par mon patron qui me tenait toujours par les cheveux mais sans me faire mal car je devenais docile. J’avais des larmes d’humiliation qui perlaient à mes paupières. Je m’en sortais à peu près en faisant quelques allers et venues, puis au moment ou je passais sur son anus, il appuya sur ma tête pour me forcer à entrer ma langue. Je le faisais bien malgré moi et entrais le bout de ma langue dans son anus. Je m’attendais à un goût horrible et je fut surprise car la dame avait du faire une toilette minutieuse. Finalement hors mis la situation humiliante au plus haut point, ça n’était pas désagréable. J’avais moins peur. Je laissais mon patron me guider. Il appuyait de plus en plus sur ma tête et me collait le nez à ses fesses à chaque poussée.
J’étais comme un petit sexe qui entrait et sortait de son anus, il allait de plus en plus vite et de plus en plus fort utilisant ma langue comme un gode. Son amie gémissait de plaisir et me tendait ses fesses en écartant parfois avec une de ses mains pour que j’aille plus loin. Elle m’encourageait par des « oui vas-y continue, nettoie moi encore plus profond vas-y ! »
« Bien, tu as compris, me dit mon patron, maintenant, tu vas reprendre tes caresses sur son sexe en même temps. Tu vas entrer un doigt dans son vagin, et caresser son clitoris avec l’autre main. »
Il tenait toujours ma tête, je reprenais mes caresses sur son clitoris complètement mouillé et sorti. Elle était au bord de l’orgasme, je le sentais. Et je l’enviais aussi. Cette séance de soumission me faisait mouiller et ça coulait entre mes jambes. J’entrais un doigt dans son sexe et faisais des aller retour d’abord lent et amples puis au même rythme que ma langue dans son anus.
Mon doigt s’activait sur son clitoris et un autre dans son vagin, ma langue entrait presque entièrement dans son anus qui était maintenant complètement ouvert.
D’un coup, elle eu un orgasme elle cria plus fort. J’allais reculer, mais mon patron me força à garder la langue insérée en elle pendant qu’elle venait. J’avais aussi laissé un doigt dans son vagin. Je sentis sur mon doigt les spasmes de son vagin et sur la langue les spasmes de son anus. Elle était cambrée au maximum. Je sentis son jus couler sur ma main.
Mon patron me libéra enfin. Son amie se retourna et ils s’embrassèrent passionnément.
« Alors comment as –tu trouvé ma secrétaire ? » Elle répondit en me caressant la joue « Elle est plutôt habile, tu as de la chance ».
Je me relevais, mon patron m’autorisa à me rhabiller et je partis, les laissant seuls. Mon patron avait repris de la vigueur, je ne doutais pas de leur soirée. Pour ma part, je rentrais chez moi et m’offrit une séance de caresses solitaires en pensant à l’amie de mon patron. Cette première expérience avec une autre femme allait rester dans ma mémoire.

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